Accueil
Voici les derniers messages de ce forum :

Avis


De droudrou, le 22 octobre 2006 à 21:31
Note du film : 4/6

Jipi ! Je trouve que tu y vas un peu fort : Space Cowboys se distingue quand même de Armagedon et Apollo 13

dans la mesure où nos vieux font preuve d'un certain humour. Evoque un peu les personnages qui nous sont évoqués et tu t'aperçois que sur cet aspect Clint Eastwood a fait du bon travail. N'oublie pas Sutherland qui, une fois de plus, est au top. Il laisse toujours une empreinte aux personnages qu'il incarne.

En ce qui concerne l'imagerie, moi, j'ai beaucoup aimé. Même si nos épouses et leurs copines se sont fait (censuré)…. pendant le film parce que la "science-fiction" n'est pas la "science-friction", il est cette première partie qui les a néanmoins beaucoup fait rire et ensuite les images de la seconde partie leur ont quand mêmebeaucoup plu.

Moi, le reproche que j'adresserai à l'encontre de "Space Cowboys" c'est l'image. Je crois que, réalisateur, la première partie aurait été filmée en 16/9ème et la seconde partie en écran ultrapanavision 2.55.

Je préfère quand même de loin la fin de "Space Cowboys" à celle de "Armagedon". Brute Willis m'énerve de plus en plus. Je ne supporte plus Tom Hanks. N'en déplaise…


Répondre

De jipi, le 22 octobre 2006 à 17:51

Le seul point commun que modestement je pense posséder avec la navette spatiale est que nous avons décollés ensemble après un tour de cadran d'ennui ce qui laisse quand même une heure de bonheur avec ces fantastiques images de la terre vue de l'espace.

Que c'est beau vu du ciel, Corvin (Clint Eastwood) se pâme de bonheur devant ce spectacle que la quasi-totalité d'entre nous ne pourra jamais s'offrir.

Les films de sciences fictions sont une denrée rare, il faut s'en délecter. Ne soyons pas sévère, Space Cow-boys assez conventionnel donc sans surprises dans sa première partie devient éblouissant des que la terre est vue du ciel.

Ces papys technologiquement obsolètes s'accrochent bien dans ce retour aux conceptions d'antan, les théories sont parfois rétrogrades et agissent comme des boomerangs. Quatre sexagénaires réactivés le temps d'une mission ont le destin de notre planète entre leurs mains.

Quelle revanche sur une antérieure mise au placard impitoyable. Le geste redevient précis, l'intérêt croissant, l'inéductable se profile au loin, un des quatre devra se sacrifier.

Avec un scénario plus ou moins basique, Space Cowboys se positionne comme un membre de la famille des Armagedon et Apollo 13 tous synonymes de la dualité américaine : Patriotisme et sacrifice. Ces concepts onéreux et simplets ont l'avantage de mettre en valeur le dernier bastion hélas infranchissable pour le moment, être l'hote temporaire de cette immensité obscure qui telle un dome nous écrase de sa puissance.

Actuellement seul les mathématiques ont la suprématie sur cette science qui ne peut être comprise que par l'ivresse d'un regard.


Répondre

Installez Firefox
Accueil - Version haut débit

Page générée en 0.0024 s. - 6 requêtes effectuées

Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter