Tout cela est bien farfelu, mais surtout terriblement ennuyeux, extraordinairement verbeux, guindé, pompeux, précieux, prétentieux, se prenant très au sérieux. Les lieux communs du dialogue se haussent du col, la musique est difforme, Berlin hideux, les astuces (passage du français à l'allemand, du Noir et Blanc à la couleur) terriblement tarte et prévisibles.
Un film qui se croit grand chose.
L’un d’entre eux, formidable Bruno Ganz, de plus en plus touché par les humains, sent croître en lui un sentiment pour une mortelle, une jolie trapéziste interprétée par Solveig Dommartin. Entre l’Ange descendu du ciel et la belle dont la grâce semble échapper à la pesanteur terrestre, une histoire d’amour est-elle possible ? Sur des images d’une beauté irréelle et une bande son magnifique, par le jeu d’acteurs émouvants sans jamais tomber dans le pathos, Wim Wenders nous offre une œuvre contemplative et éthérée pourtant non dénuée d’humour….
Un chef d’œuvre équilibriste en clair-obscur porteur d’un supplément d’âme, une réconciliation entre le ciel et la terre, préfigurant celle de l’est et de l’ouest. Mention spéciale pour Peter Falk, dans son propre rôle ou presque, celui d’un ange reconverti en acteur…
Facinée par ton parcours que je ne soupçonnais pas encore sur les bancs du lycée à Nancy; je me souviens des heures partagées en cours de théâtre ensemble en 3ème !! drôle de retrouvailles par le hasard de la vie en apprenant ton décès!! je tenais à saluer l'actrice et la personne par ce message.
Au revoir Solveig, ton souvenir restera dans ma mémoire. Une ancienne camarade de classe qui t'admirais déjà en 1972!!!
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