Le temps d'aimer, le temps de mourir (1958) est un film extrêmement bien fait, des personnages sobres réagissant aux événements brutaux qui les entourent. Mais… tout en reconnaissant les qualités de l'oeuvre, il ne fait pas partie de mes films préférés, la gestion des codes du mélodrame ne me plaisant pas trop sur ce film. Parfois, on peut admirer un film mais rester extérieur à celui-ci. Mes préférences vont pour Sirk vers Tout ce que le ciel permet, et Ecrit sur du vent.
De Berlin au front russe, la rencontre réussie du film de guerre et du mélo flamboyant hollywoodien.
Par ailleurs, vu que la partition de la BO est signée Miklos Rozsa, les armées allemandes défilent sur une musique rappelant les armées romaines de Ben Hur ou Quo Vadis … Rien de choquant là dedans, vu qu'elles arborant les mêmes aigles…
Du coup, l'histoire racontée prend un caractère intemporel concernant tout homme, toute femme, toute guerre…
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