C'est un bon film, effectivement, très consensuel. La mise en scène de Andrew V. McLaglen est efficace, la photographie de William H. Clothier magnifique. Le trio d'acteurs (James Stewart, Dean Martin, Raquel Welch) excellent. Les relations entre ces personnages (et les autres) sont bien traitées -sur les sujets des valeurs, des modes de comportement, des projets-. La musique de Jerry Goldsmith, de qualité, est parfois inadaptée (les notes façons enjouées Bonanza collent par moments mal à ce western crépusculaire). Bandolero (1968) est un mélange de Les professionnels (1966), La horde sauvage (1969) et de plusieurs autres films de Peckinpah (New Mexico (1961), Major Dundee (1965). Mais l'influence du western spaghetti est facilement détectable (recours à la violence).
Tout à fait d'accord, les incursions de Raquel dans le western ont toutes quelque chose d'intéressant : Cent fusils, Bandolero et surtout Un colt pour trois salopards, finissent par former un tryptique étonnamment cohérent.
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