non, ce n'est pas la bonne…c'est quand il y a de la funk et tout, et mo money mo problem n'est pas la bonne malheuresement…si quequ'un pouvait m'aider !
c'est celle qui pase dans la voiture juste avant qu'il tire sur la voiture de police avec le fusil a peinture.
Reponse a qq personnes d'entre vous, future et jimmy font un remake de la chanson de lynyrd skynyrd
ki sappelle sweet home alabama (je parle bien evidemment de celle où jimmy, enfin eminem parle de sa
mere) voila .
Quelle est la muzique de fond employée pour les rap battles à la fin du film ?
j'aimerais connaître le titre du morceau qui passe au début du film lorsque Rabbit est dans les toilettes.
Dans 8 mile, Rabbit chante avec son pote qd il est en train de reparer sa voiture.
Il fait un remake d'une chansson connue, et dans le film il parle de sa mère. Mais je voudrais trop savoir c'est quoi le titre et l'auteur de cette chanson, du moins le titre. Merci !
Quelle est la muzique de fond employée pour les rap battles à la fin du film ?
« Auteuil Neuilly Passy, c'est pas du gâteau… » 8 Mile, c'est la ligne de démarcation imaginaire entre les quartiers blancs et bourgeois et les quartiers noirs et pauvres de Détroit. Et Jimmy « Eminem » Smith Junior, lui, c'est pas un riche. Jouer dans 8 Mile, très largement inspiré de la propre vie de la mégastar du rap, ça a dû quand même être une expérience étrange. Regarder Eminem qui griffonne sur des bouts de papier saturés de ratures, qui contemple les rues vides et sales de Détroit d'un air blasé, qui séduit à force d'envie une foule hostile véritable juge en temps réel de ses talents de warrior de la rime, se dire qu'il y a du vrai dans tout ça, et ben ça fait quelque chose. Avec un peu de recul, le scénario d'8 Mile peut paraître un brin démago, avec ses bons sentiments à la louche et sa morale un poil trop appuyée. On renifle le coup marketing. Pourtant, il faut bien reconnaître une chose, c'est que ce grand échalas amateur de bonnet a un charisme absolument incroyable, crédible jusque dans ses silences. Ses camarades de jeu, tous excellents et professionnels, donnent d'ailleurs une marque étalon de haute volée et il tient la distance sans forcer.
Demeure une question étrange : qu'est-ce que cherche un mec multimillionnaire à revivre sa vie dans un film ? Pourquoi la rejouer alors qu'il l'étale par ailleurs avec une rare férocité dans ses propres chansons ? Veut-il s'amender des reproches (parfois justifiés) adressés à ses couplets les plus virulents, à ses diatribes homophobes ? Que veut-il en définitive prouver ? A ce faisceau de questions, laissez moi tenter d'apporter une amorce de réponse, avec ma conviction modeste de cinéphile passionné : ce mec là, qui est parti de pas grand-chose pour devenir l'un des rappeurs les plus talentueux de sa génération (selon la formule d'usage) a voulu simplement se prouver qu'il est authentique, c'est-à-dire pas en toc. Après les navrantes performances de Britney Spears ou de Maria Carey (ou, rions, des Spice Girls !), Eminem peut sans conteste postuler à l'Oscar du plus talentueux des transfuges musique-cinéma. Ce que l'on peut constater en fin de compte c'est que c'est précisément dans le monde même de l'illusion, le cinéma, que sa sincérité (d'acteur) fait le plus honneur à l'intérêt (justifié ou non) qu'on peut lui porter en tant que rappeur. Moi qui déteste le rap, ça me fait drôle et presque plaisir de dire : « Cet Eminem a sacrément du talent ! ».
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