En réponse à Dominique Ledoux :

A ce sujet, si je me souviens bien, ils avaient bloqué la circulation dans le coin pour pouvoir tourner leurs scènes… et puis il me semble qu'il y avait eu une scène qui se déroulait dans le bassin du Paradis où ils allaient récupérer une bagnole… Mais tout cela c'est de mémoire par rapport aux nouvelles que colportait le "Nord-Littoral"…

Je cherche a me procurer ce film, cassette ou dvd, mon pere etant figurant dans ce film egalement. Merci de me donner toutes sortes d'info a l'adresse olivier.muys@free.fr Merci Olivier M.

des Muys, à Calais : je suis certain que si l'on fait l'arbre généalogique de chaque famille, on retrouve à un moment donné un Muys – j'étais apparenté avec les Muys qui habitaient rue Virgile… – ceci mis à part : à l'époque du film, j'habitais la rue Neuve – la dernière maison conservée (ce n'est pas peu dire) à côté du nouveau centre commercial qui doit être vraisemblablement achevé, maintenant – il y a donc nombre de films sur lesquels j'interviens qui ont été vus entre Le Calaisianna – le Théâtre des Arts – l'Alhambra – le Dauphin et le Colisée

Ô souvenirs, Printemps, Aurore… mais la suite ne sera pas de Victor Hugo.

Evoquant Calais dans le cadre de différents films qui y ont été tournés, ça m'a fait penser à quelques acteurs.

D'abord par rapport au message précédent : il n'y avait pas de femme tulliste. C'était très mysogine et il est assez difficile d'imaginer une dame couverte de mine de plomb comme c'était le cas à l'époque et que ce doit l'être encore aujourd'hui.

Effectivement les scènes avaient été tournées à l'Usine Gaillard, ainsi qu'on le dit en bon calaisien.

Je me rappelle que le canard local, Nord-Littoral, avait consacré quelques interviews aux divers acteurs du film. Ce qui me ramène à des gens que l'on voyait beaucoup à l'époque comme Philippe Lemaire – Raymond Pellegrin – Gérard Blain sans omettre la gent féminine Magali Noël dans un rôle dont elle avait l'habitude…

Pour le moins, je sais n'avoir jamais pu voir ce film Le désir mène les hommes : rien que le titre était suffisant pour que je reçoive une interdiction formelle de ma grand-mère et de ma tante !