On y apprend le mécanisme de fonctionnement des ventouses, on y voit la marche des oursins, et on découvre – dans le clou du film – ses pédicellaires qui lui permettent de se nourir.
Les images sont comme toujours très belles et très évocatrice. Le ton est toutefois trop scolaire. On a connu des films de Jean Painlevé avec plus de poésie.
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