La surprise vient plutôt de la qualité formelle qui est élevée :
Franco Di Giacomo et
Giuseppe Ruzzolini pour la photographie des paysages (Parc national du Gran Sasso e Monti della Laga dans les Abruzzes), ou des scènes d'action. Ils possèdent à eux deux une filmographie conséquente (collaborations avec Taviani, Leone, Pasolini, Comencini, Argento, Bolognini, Bertolucci, Bellochio, Lizzani, Mikhalkov, etc…). Et
Ennio Morricone pour la musique, dans sa veine avant-gardiste, injustement méconnue. Sa partition est remarquable. Le fond de ce film est plus discutable, vociférant et répétitif, avec néanmoins de bonnes idées scénaristiques.