3,5/6. Des débuts dans le domaine du mélodrame (façon Douglas Sirk) laborieux pour Blake Edwards. Le film démarre bien mais s'enlise dans des développements peu intéressants, peu crédibles… Mais de nombre de séquences sont toutefois (très) réussies. Ce sont celles qui parlent des relations homme-femme (Tony Curtis face à Kathryn Grant et Martha Hyer, par exemple) basées sur un mélange moderne, et détonnant de cynisme et de sensualité. C'est le canevas autour de cet aspect qui déçoit (exemple : le contexte du poker).
Bien inférieur, au final, à ce mélodrame flamboyant qu'est Some came running réalisé par Vincente Minnelli l'année suivante (1958) avec la même et splendide Martha Hyer
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