C'est un film à la fois inégal et décousu qui laisse sur sa faim. On a du mal à percevoir la thématique centrale. C'est probablement Bolognini qui s'en sort le mieux (avec Pasolini et Monicelli). Le premier sketch de Steno, avec Toto, est archi-nul et plombe d'entrée cette oeuvre. Franchement, Toto, sorte de cabot qui aboie à la vue de chaque passant, est insupportable. Déception donc pour cette oeuvre, qui n'a nul besoin d'être rééditée.