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Sujet : Chasse à l'homme classique, mais non sans intérêt


De Impétueux, le 28 février 2006 à 18:02
Note du film : 3/6

Encore une découverte due à la TNT : hier, sur TMC, ce Témoin dans la ville bien construit, bien photographié, avec un Ventura taciturne et sobre, mari trompé, mais toujours amoureux de sa femme, assassinée par un amant qui bénéficie d'un non-lieu et dès lors assassin lui-même dudit amant (je sais ! écrit comme ça, c'est un peu nébuleux, mais le film est beaucoup plus clair !). Un chauffeur de taxi l'a vu sortir précipitament de chez la victime (l'amant) ; Il va falloir le retrouver et le faire taire…

Honnêtement, ça ne justifie pas d'une édition DVD (quoique ! on édite tant de sottises !) mais ça se laisse regarder bien agréablement et le Paris de la fin des Années Cinquante est toujours aussi photogénique…


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De nikos, le 4 mars 2006 à 23:37

tout à fait d'accord avec toi ! Je l'ai revu aussi sur TMC ;c'est une vraie découverte !

Ce film a pris une telle distance avec notre époque… on a l'impression que c'est presque un film documentaire sur Paris et que ce n'est pas un film français… mais plutôt un film noir américain…

Tous les acteurs ayant quasiment disparu et ayant tous un physique particulier donnent à ce film une dimension hors du temps et un vrai charme.


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De David-H, le 10 février 2007 à 23:04

Alors que Lino Ventura n'était véritablement connu du grand public que depuis une année, grâce notamment, au 'Gorille vous salue bien' et au 'Fauve est lâché', certains critiques craignaient pour l'acteur qu'il ne quitte plus jamais ses personnages de « brute dégénérée ». Heureusement, l'acteur dirigea ensuite sa carrière de manière exemplaire, devenant parfaitement éclectique.

Dans un Témoin dans la ville', Ventura campe un homme ayant loupé de justesse un crime parfait, seul un taximen (Franco Fabrizi, vu dans 'I Vitelloni', 'Le Petit baigneur' et 'L'homme-orchestre') apparaissant comme l'unique témoin de sa culpabilité. Prisonnier de cette situation, il s'obstine à retrouver cet homme, qui songe plus à conquérir sa standardiste Sandra Milo). S'en suit alors une chasse à l'homme classique, mais dont on ne se lasse jamais. L'occasion se présente alors de découvrir la vie nocture parisienne de la fin des années cinquante, si captivante.

Voitures, taxis, métro, le Jardin d'Acclimatation: cet ensemble documentaliste régénère et offre un nouvel intérêt à cette histoire finalement simple. Si l'on s'aperçoit que rien n'a fondamentalement changé dans le métro en un siècle, les premiers radio-taxi poussèrent à cette époque-là aux oubliettes les vieux (mais si charmants) indépendants fonctionnant encore au pifomètre, comme l'un d'eux le précise si poétiquement dans le film.

Un parfum noir, nostalgique et agréable plane tout au long cette fiction, signée Edouard Molinaro, qui retrouvera Lino quatorze ans plus tard, dans 'L'emmerdeur'.


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De Tamatoa, le 24 août 2012 à 02:48
Note du film : 4/6

Je ne pensais pas trouver des commentaires sur ce fil. Mais vous êtes partout, alors !!

4,5 comme vous écrivez quelques fois. Un beau "Noir et Blanc" ! En effet, pour son troisième long métrage, Molinaro ne se moque pas de nous et nous en donne pour notre argent. Après une entrée un peu longuette (c'est bien tout ce que l'on peut reprocher à ce film), l'action va crescendo et formidablement orchestrée par le futur papa de L'emmerdeur. Bien sur, on sent que Ascenseur pour l'échafaud est sorti l'année précédente et que Molinaro l'a vu. Certaines scènes en témoignent, ne manquant que de la trompette de Davis. Parce que trompette il y a dans les rues noires de Paris où la tension est palpable. Mais il y a trompette et trompette. Mais ne chicanons pas. Ce film est très agréable à regarder, armé qu'il est de ces tronches connues, de cette atmosphère "50", et de toutes ces Peugeot 403 (je n'en avais jamais vu autant d'un coup, même à l'époque !) arpentant l'asphalte parisien. Je me suis souvenu de mon premier job dans les taxis-Radio de nuit, dans mon arrivée en métropole. Mais pas en 59, en 70. Par contre, la camaraderie entre les taxis m'a paru quelque peu exagérée. Mais peut-être qu'à cette époque… A n'en pas douter, si ce film sortait aujourd'hui, il n'intéresserait que les vieilles tiges. Ne serait-ce que par les cascades, fusillades et autres bagarres, les jeunes ne pourraient que rire devant le spectacle offert. Mais c'est pourtant de l'excellent cinéma estampillé années 50 ! Et je me pose une question : les Américains et les autres, appréciaient-ils notre cinéma à cette époque ? Reconnaissaient-ils que nous avions beaucoup de chance, dans ce domaine, d'être français ? J'aimerais bien avoir ne serait ce que les prémices d'une réponse…

Un suspense, un climat prenant et tendu nous tient en haleine d'un bout à l'autre. Ça fonctionne très bien. C'est du Noir qui sait rouler en dehors des clous. Et, pour une fois, les amourettes ne sont pas de trop. C'est rare dans les thrillers. Et puis il est aussi rare que le meurtrier nous soit autant sympathique que les "gentils". On a pas envie de le voir se faire prendre. Déjà, Ventura s'envolait. Il prouvait là qu'il saurait faire autre chose que le catcheur. Et tant mieux si ce film ne lui a pas donné envie de faire chauffeur de taxi. Quelle perte pour le cinéma ! J'ai reconnu la jolie Sandra Milo qui retrouvera Ventura l'année suivante pour Classe tous risques. Et quelques trognes qui deviendront célèbres qui surgissent dans la nuit, l'espace de quelques secondes pour faire un maigre cachet. Daniel Ceccaldi, par exemple, avec un épouvantable accent italien, pendant huit secondes à l'écran. Lui a mis beaucoup plus de temps à s'imposer. Je ne sais pas pourquoi. En revanche, Dalban, omniprésent dans ce film, était depuis longtemps déjà comme un poisson dans l'eau dans tout ce que comptait le cinéma français. Prolifique et de très bonne facture dans ces années là !

C'est du très bon travail, très récréatif. Et à l'inverse de notre ami Impétueux je réclame la sortie de ce film en DVD. Haut et fort. Ben tiens : Le v'là !

Bien fait !…pour nous tous !


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De Tamatoa, le 25 août 2012 à 21:15
Note du film : 4/6

Et je me pose une question : les Américains et les autres, appréciaient-ils notre cinéma à cette époque ? Reconnaissaient-ils que nous avions beaucoup de chance, dans ce domaine, d'être français ? J'aimerais bien avoir ne serait ce que les prémices d'une réponse…

Toc ! Toc ! Y' a quelqu' un ?


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De Impétueux, le 25 août 2012 à 23:56
Note du film : 3/6

Je vois tout l'intérêt de votre question, Tamatoa, mais je me sens tout à fait incapable de lui donner une esquisse de réponse pertinente.

j'ai quelques idées sur la perte d'influence de la culture française dans le Nouveau Continent à partir de 1918, mais elles ne sont pas étayées par quelques exemples solides dans le domaine du cinéma, qui nous intéresse ici…

Regrets !


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De Tamatoa, le 26 août 2012 à 01:17
Note du film : 4/6

C'est que je me faisais la réflexion suivante : Quand je vois, par exemple Vincentp ou Alholg (vous,moins, qui n'êtes pas trop "étasunien") qui défendent si brillamment Autopsie d'un meurtre, Moby Dick, La fureur de vivre, Dieu seul le sait ou Tout ce que le ciel permet, je me demande si les cinéphiles américains, en ces années cinquante, avaient conscience, eux, de nos Thérèse Raquin, Manèges, Touchez pas au grisbi, La Maison Bonnadieu ou Des gens sans importance et si ils en parlaient, dans les journaux pas sur internet, avec autant de fougue. Ou étaient' ils méprisant envers tout ce qui était Français, cinéma compris. On compte sur les doigts d'une seule main les chanteurs(euses) qui ont fait carrière aux States. Existe-t-il aussi un… racisme dans le cinéma ? Même si Sergio Leone s'est fait les dents chez Couzinet et si Francis Ford Coppola jeune (27ans), a mis son nez dans Paris brûle-t-il ?.


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De Impétueux, le 26 août 2012 à 21:40
Note du film : 3/6

Je pense qu'aux lendemains de la grande crise, Paris a perdu l'aura qu'elle avait auprès des grands écrivains de la Génération perdue décrite par Gertrude Stein, et dont on voit la nostalgie dans Midnight in Paris, où se croisent les Fitzgerald ou Hemingway.

Et la deuxième guerre, la défaite, la capitulation n'a rien fait pour arranger les choses.

Mais je doute, d'ailleurs, que les spectateurs étasuniens aient jamais apprécié les cinéastes français. Nos compatriotes qui ont réussi à Hollywood, Maurice Chevalier, Charles Boyer, Louis Jourdan, Leslie Caron incarnaient une forme d'exotisme, pas davantage. Et les tentatives, pendant la Guerre, de Jean Renoir ou de Julien Duvivier de s'implanter outre-Atlantique n'ont pas vraiment été couronnées de succès…

Dommage pour les Étasuniens, qui auraient pu échanger leurs éternelles histoires de garçons vachers et de capitaines d'industrie véreux contre des histoires plus civilisées. Dommage aussi pour nous, qui, du fait des scélérats accords Blum/Byrnes (et Jean Monnet) de 1946 ont ouvert nos écrans aux productions hollywoodiennes sans aucune contrepartie…


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De vincentp, le 26 août 2012 à 23:43

Nos compatriotes qui ont réussi à Hollywood, Maurice Chevalier, Charles Boyer, Louis Jourdan, Leslie Caron incarnaient une forme d'exotisme, pas davantage

Charles Boyer dans Elle et lui, Louis Jourdan dans La flibustière des Antilles réalisent des performances artistiques exceptionnelles (parmi les plus belles et réussies que j'ai pu voir à l'écran, toute époque et origine confondues). Très émouvants, ils apportent autre chose que de l'exotisme. Une sensibilité, un charme et une finesse d'esprit française de départ, parfaitement magnifiée par Hollywood.

Nb : j'ajouterais aussi comme composition marquante (de mon point de vue), celle de Micheline Presle dans Guerillas.


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De Impétueux, le 27 août 2012 à 09:15
Note du film : 3/6

Tous ceux que j'ai nommés étaient, de fait, des acteurs de qualité (il n'est que de voir, dans des films réalisés par un non-Étasunien, Max Ophuls, Louis Jourdan, dans Lettre d'une inconnue, ou Charles Boyer dans Madame de pour percevoir leur talent.

Je voulais dire qu'ils ont été souvent employés par Hollywood comme Français de service, avec toute la légèreté, le charme, la séduction, la désinvolture que notre peuple pouvait représenter, à tort ou à raison !


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De Nadine Mouk, le 26 mai 2017 à 20:04
Note du film : 4/6

Mais bien sûr que ce film mérite une édition Dvd, M'sieur Impétueux ! Une belle atmosphère, que n'aurait pas renié notre Arletty. Un film sombre qui démarre sur les chapeaux de roues ! Une mise en scène sans faille (ou si peu) de Molinaro. Peut-être quelques longueurs dans la première demi-heure, mais vite rattrapées par un suspense bien orchestré. En fin de compte, cet Assassin nous est quand même sympathique. Et pour dire le vrai, je fus navrée de voir ce que la fin de sa cavale lui réservait. Il a bien fait de faire ce qu'il a fait. Ventura qui avait jusque là à peine montré son nez dans des films qui pourtant sont restés célèbres, Razzia sur la chnouf , Le rouge est mis, Maigret tend un piège, Ascenseur pour l'échafaud ou Marie-Octobre , Ventura semble porter le film sur ses larges épaules. Comme il l'avait fait, l'année précédente avec Le Gorille vous salue bien , dans un tout autre genre.

Mais ici, pas de grande gueule, pas de biscoteaux, et même un air de victime que j'ai acquiescé d'emblée. Dans cette chasse à l'homme nocturne, on ne se fait pas trop de mouron pour ce témoin. Il est trop sympa et trop italien pour qu'il lui arrive quelque chose. C'est surtout Ventura qui nous inquiète. Le monde des taxis est bien rendu bien que je ne connaisse pas ce monde là, mais il a l'air très sympathique et familial. Et toute une époque dont on sent bien qu'elle a mal, bien mal évolué… J'aurais juré que la fiancée si prude (On est bien en 1959 !) , Sandra Milo avait été faire un petit séjour dans la clinique du docteur Genéssier dans Les yeux sans visage mais je me suis trompée. Dommage, peut-être, que la scène finale dans le jardin d'acclimatation, avec ses oiseaux de nuit qui semblent prendre la vedette et la grosse tête dure si longtemps. Ça tranche un peu avec le reste de l'oeuvre. Ça casse un peu le truc mais ne soyons pas chien. C'est de la belle et bonne ouvrage dans l'ensemble. J'ai beaucoup aimé ce film ! Bref : tout a été dit sur cette oeuvre. Même qu'il ne valait pas une édition en dvd…. En 2017, on peut lire …vous feriez mieux, pour le peu de temps qui vous reste à pouvoir aligner deux phrases à la suite…. En 2006, ça n'allait pas fort non plus …


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De fretyl, le 27 mai 2017 à 15:24
Note du film : 5/6

Je garde un excellent souvenir de ce polar à rebondissements multiples qu'il faudrait que je revoie très vite. Seule une chose me choque votre message Nadine Mouk ; trouver Ventura sympathique dans un pareil rôle me stupéfait.

Si j'ai bonne mémoire Ventura y incarne un salaud sans états d’âmes qui veut flinguer un brave chauffeur de taxi (Franco Fabrizi) parce-qu'il craint qu'il témoigne. Trouver sympa Ventura dans ce film là ou même, allons y, dans le rôle du tueur Abel Davos de Classe tous risques est quand même assez déplacé !


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De Nadine Mouk, le 27 mai 2017 à 17:28
Note du film : 4/6

Bouuuuuuuuuuuh ! Mais c'est qu'il mordrait notre Fretyl ! Quand je dis que Ventura est sympathique, j'entends par là que , d'abord, ce n'est pas un tueur professionnel. Nous ne sommes pas dans Big guns. C'est juste un homme qui veut venger la mort de sa femme. Qui le lui reprocherait ? De plus, il ne cherche pas à tuer le témoin. La preuve : il aurait largement pu le pousser sous les rails du métro et ne le fait pas. Cette scène est flagrante . Ventura ferme les yeux et renonce…. Il veut juste lui expliquer, lui raconter l'histoire. Il le lui dit, d'ailleurs, à un moment donné: "-Il faut que je vous explique ! Je veux juste vous expliquer ce qui s'est passé…-". Après c'est le récit d'un triste engrenage, rien d'autre . Abel Davos de Classe tous risques est un pourri de première, rien à voir ! Au même titre que Gu Manda dans Le deuxième souffle . Je n'ai aucune sympathie pour ces merdes là ! En revanche, oui, j'avoue que j'ai une certaine empathie pour ce personnage dépassé par ce qu'il a fait . Ancelin n'est pas un tueur ! C'est un engrènement de malheureux hasards qui le conduisent dans cette course effrénée. Et puis, un salaud sans états d’âmes ne venge pas sa femme, mon cher frétyl : Il s'en fout ….


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De fretyl, le 27 mai 2017 à 17:31
Note du film : 5/6

Dans le rôle de Abel Davos, Ventura ne m'attire aucune sympathie mais dans certaines scènes une forme de pitié… Dans le registre de l'homme traqué il n'a jamais été aussi émouvant que dans Classe tous risques ; père de famille qui se retrouve avec ses enfants à dormir sur une plage marseillaise, abandonné par tous, et surtout par la pègre, se battant sans grands espoirs pour vivre encore un peu… Dans la réalité Abel Davos qui a bel bien existé, mais qui s'appelait en réalité Abel Danos était un ancien gestapiste qui avait travaillé pour Bonny et Lafont et ensuite Pierrot le fou (Pierre Loutrel) ; dans Le Gang de Jacques Deray c'est Maurice Barrier qui lui prête ses traits.
Eh ben d'après André Pousse et grâce à une hallucinante interview de lui de Raphael Mezrahi qu'on trouve sur le net mais hélas pas dans son intégralité (30 minutes) lorsqu'il était coureur cycliste pendant l'occupation Pousse eut l'occasion de rencontrer Danos et celui-ci fit libérer de la Gestapo plusieurs amis de Pousse qui avaient été arrêtés, eh ben Pousse disait dans l'interview ne pas regretter d'avoir côtoyé ce monstre !


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De Frydman Charles, le 9 mars 2022 à 16:09
Note du film : 6/6

Excellent film policier. Lino Ventura est extraordinaire dans son rôle d’individu antipathique. Les premiers radio-taxis datent de 1956 : histoire des taxis , 1956 : Le premier central radio de taxis . , et les radios taxis sont tous solidaires dans le film. L'autre vedette du film est le central des radios taxis. Néanmoins après 1 h 05 mn le film n’est pas très clair.Ancelin (Lino Ventura) a retrouvé Lambert, le brave chauffeur de taxi témoin. Ancelin se gare face au café des taxis

, monte dans le taxi de Lambet, Lambert l’a reconnu et active le téléphone radio, la conversation est transmise au Central. Les deux protagonistes sortent du taxi,et s’éloignent du combiné. La conversation est néanmoins transmises très clairement. Lambert à une clef anglaise et Lino Ventura lui tire dessus. Lambert tombe au sol et Lino Ventura jette la clef anglaise et vole le taxi. Plus personne ne dit ensuite ce qu’est devenu Lambert. Vers 1 h 11 Lino Ventura abandonne le taxi, il a eu un accident avec Germaine, la femme chauffeur de taxi a sa poursuite, blessée au volant de son taxi . Vers 1 h 12 mn Lancelin change de véhicule pour sa propre voiture en location , une Simca aronde de couleur grise (qui avait été stationnée face au café le Falça vers 1 h 01 .Les taxis fréquentent plusieurs cafés, yeyette vers 37 mn…
,"chez Bob" café restaurant vers 1 h…le Falça est à proximité de l’accident ?)
. Vers 1 h 19 nouvel accident entre le vehicule d’Ancelin et un des taxis à sa poursuite, dont le chauffeur est blesse ou mort. Vers 1 h 21 on voit un véhicule au loin d’un groupe de taxis, et des policiers emmener un mort ou un blessé sorti d'un véhicule et mis sur une civière. On peut supposer que Lambert était tombé mort sur le trottoir , mais alors que tous les taxis se sont groupés pour le venger, plus personne ne se soucie de savoir si on l’a retrouvé, mort ou blessé. Le film sous entend qu’il a été retrouvé mort. A noter l'indicatif POR du central correspond à PORt-Royal. Diffusé lundi 14 mars 2022 sur Arte.


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De Frydman Charles, le 16 mars 2022 à 16:54
Note du film : 6/6

Vers 1 h donc, un des cafés des taxis : "chez Bob"

Difficile de situer les cafés du film. Vers 1 h 11 Germaine signale qu’Ancelin est à l’angle de la rue Castagny et de la rue Jacques Baudry (précisé sur L2TC). S’ensuite une bagarre, Ancelin se sauve. Le café le Falca pourrait se situer à cet endroit. Mais l’environnement est different de celui vu à proximité du Falca . Sur l’image les plaques de rues sont illisibles .
. Un café le Falca se trouvait recemment 3 rue Castagny. Le strip Tease d’ou sort un client emeché vers 30 mn
correspond à celui vu rue Pigalle sur une photo de Pablo Volta
,Façade du strip-tease en couleur sur memoryprints .


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