Ce film est simplement renversant!!! L'histoire est terrible mais aussi magnifique. En plus je trouve que ce film peut se voir des centaiines de fois.Je vous conseille vraiment de le visionner vous ne serez pas déçus!!!!POur Patrick Bruel je ne peux dire que du bien de lui!!!Il joue vraiment bien et il a beaucoup de charme. C'est un homme qui est très profond et c'est aussi un chanteur quiu me fait avancer dans toutes les étapes de ma vie

Vive Patrick!

Nathalie

Ce film est superbe !

Je n'ai pas encore vu ce film d'Arcady, mais ça m'a l'air prometteur.

Non désolé mais il n\'est vraiment pas térrible , Arcady accumule clichés et longueurs et l\'histoire abracadabrantesque s\'essoufle au fur et à mesure que l\'intrigue se corse . Dommage car le début était fort prometteur -un juif ancien déporté assassinant un de ces anciens bourreau venue dans sa boutique- c\'était un bon départ pour un polar .

Le seul à tiré son épingle du jeu est le chef opérateur Gerry Fisher certaines scénes aux lueurs blafarde donne la chair de poule .

Le point de départ que décrit Nouvelle ressemble un peu à l\'énigmatique Client de la morte-saison…

Et bien moi j'ai été enthousiasmée par ce film ! Arcady est un grand cinéaste qui, avec plus ou moins de bonheur, ne nous laisse pas indifférents sur l'Histoire et la sienne. Je ne fais pas référence bien-sur au navrant Hold-up, dans un tout autre genre, mais à ses multiples films ôu il se borne, et il a grandement raison, à célébrer un peuple trop souvent ciblé pour de trop mauvaises raisons.

La première demi-heure part du feu de Dieu, et je crois que l'expression trouve là son juste sens. Bien sur, et nouvelle a raison en celà, quelques longueurs dans la première partie de l'action à Berlin, auraient pu être évitées car elles ralentissent considérablement le film sans lui apporter vraiment. Mais Berlin sous une pluie torrentielle et continue est merveilleusement filmée. Et encore une fois, je rejoins nouvelle qui ensence le chef opérateur Gerry Fisher pour son travail que l'on peut qualifier de spectaculaire. Pour ce qui est des décors, Berlin, ville culturelle s'il en est, ne manque pas de musées, de bibliothèques géantes et autres endroits oû l'érudition explose . Arcady n'a eu que l'embarras du choix et nous propose moults scènes dans des endroits mirifiques oû l'on devine derrière des milliers de gros livres reliés cuir combien de savoir et de secrets ancestraux sont à notre portée.

La façon de faire d' Arcady pour lancer son histoire diabolique est de nous la jouer machiavélique. Mais il n'invente rien. Le processus qui consiste à nous montrer quelque chose qui est le contraire de ce que l'on croit voir n'est pas nouveau. C'est même très Hitchcockien. Et il est à parier que si Sir Alfred avait pu voir ce film, il ne l'aurait très certainement pas renié. Il est écrit dans le Talmud : La vérité ne peut se cacher derrière des apparences car derrière les apparences se cachent d'autres apparences…. Le film est en partie résumé..

Bruel à un registre très limité, mais les différents metteurs en scène qui l'ont fait jouer ne lui en ont pas demandé plus. Et si dans ce film il est dans le même (très exactement) jeu que dans l'union sacrée, il arrive quand même à donner à son rôle une étoffe que l'on ne peut contester. Mais la palme revient quand même à Pinkas Braun, le fameux K. La fourberie avec laquelle il nous sert ce personnage à la fois pathétique et vomitif nous laisse pantois. Je ne sais pas ce qu'il a fait d'autre, mais ce rôle là a du être difficile à quitter pour en enfiler un autre. Pas une faille dans la composition de cet ancien dignitaire Nazi qui infiltre le monde Juif . La scène de nuit, dans la forêt, avec l'anecdote de la montre en or est absolument effrayante ! Et la douceur de sa victime, Isabella Ferrari, ne fait que renforcer le côté ignoble du personnage. Marthe Keller, elle, se fait d'une discrétion, voire d'un effacement remarquable. Elle n'est pas de la vengeance générale. Elle fait son boulot. Juste son boulot. Pour le gouvernement et tout est dit. Pas question, pour elle, de sentiments. C'est une fonctionnaire et elle fonctionne. La rancoeur, doux euphémisme, de Bruel ne l'effleure pas. La demoiselle d'avignon a bien grandit…Elle est d'une totale et froide efficacité, en comparaison à la fragilité de tous les autres protagonistes de cette histoire. Histoire forte, démente, qui ravive un passé, une tâche indélébile, si près, trop près de nous encore.

l'obligation d'oubli, seule voie possible pour que la vie sociale ne soit pas alimentée uniquement par le pus de la rancœur… nous disait Impétueux sur le fil de La vache et le prisonnier. Je crois qu'Arcady n'aimerait pas cette phrase, même si elle est de bon sens. Car lui, avec K nous dit que le Pus n'a pas fini de couler de notre mémoire et n'entend pas refermer de sitôt cette cicatrice là…

Un très grand film. Et Dieu, que Berlin est belle sous la pluie. Mais était ce vraiment de la pluie ?…..

Oui, passez à autre chose.. . En fin de compte, on s'escrime a essayer (je dis bien à "essayer") d'écrire avec nos tripes et pour faire honneur à ce site, quelque chose qui ressemblerait (je dis bien "ressemblerait") à un avis exprimé de façon pas trop nase, et on déchaine une pagaille dont on se demande ce qu'elle vient faire içi…On parle de "chiottes", de Le Pen, de Franco, on s'accuse de tous les maux du monde, on dénigre le voisin, etc, etc…

Alors autant résumer mon Avis à la façon Riccardo : Bon film. A Editer en DVD. Comme ça, pas d'histoires…Mais vous êtes quand même pénibles, Messieurs. Loin d'être antipathiques, mais pénibles…

Non Vincentp les messages qui ont été déposés par moi et Impétueux sont suffisamment intéressant pour pouvoir perdurer, cela même si des parasites nous ont éloigné du sujet initial.

Cependant, en espérant que les derniers messages postés par La folie d'un homme (?) et ceux de Allholg soit effacé, je tiens à répondre à l'interpellation de ce pseudo parasite auquel sont ajouté une série de photos.

Le crétin ouvrira un livre d'histoire et apprendra qu'il n'y avait aucun lien amical qui unissait le Furhrer au Caudillo. Voir même une certaine méfiance de l'un envers l'autre. La rencontre entre Hitler et Franco à la gare de Hendaye fut loin de se passer convenablement puisque d'abord Franco fit exprès d'arriver en retard et qu'il refusa ce jour là toute alliance possible avec les Nazis ce qui provoqua la colère d'Hitler ; Hitler ayant même dit qu'il préférerait se faire arracher une dent plutôt que de revoir Franco. Le crétin apprendra également que Franco fut le chef d'état à sauver le plus grand nombre de Juifs pendant la guerre. Les portes de l'Espagne restèrent ouverte à de nombreux juifs qui pour fuir les persécutions antisémites vinrent se réfugier sous la protection du caudillo…

Voyez-vous vos quelques photos ne tiennent pas le coup face à la vérité historique. Et si vous voulez en savoir plus lisez ce livre :

http://www.amazon.fr/Temps-Franco-Michel-Del-Castillo/dp/2253129607/ref=sr_1_2?ie=UTF8&qid=1308350724&sr=8-2