Jeune romantique du XIXe siècle, Marie Carpantier doit accepter à contrecoeur un emploi: elle qui ne rêve que de littérature va devoir diriger une des salles d'asile que l'État a créées en 1835. Ces garderies d'un genre nouveau doivent accueillir les enfants défavorisés dont les parents travaillent. Peu motivée, Marie est vite découragée par l'attitude agressive des garnements qui peuplent la rue. Elle constate avec effroi qu'ils errent sans éducation, sans hygiène ni discipline. Sensible à l'abandon dans lequel ces enfants sont condamnés à grandir, elle décide de prendre les choses en mains. Marie essaie alors de mettre en place un accueil qui permette non seulement d'occuper les enfants mais encore de les éduquer.
Page générée en 4.071 s. - 15 requêtes effectuées
Si vous souhaitez compléter ou corriger cette page, vous pouvez nous contacter