Le grand peintre Edouard Frenhofer invite dans sa propriété du midi de la France, son vieil ami le grand chimiste Porbus, Nicolas un jeune peintre, et Marianne sa compagne. Frenhofer est rongé par l’abandon, il y a une dizaine d’année de “la belle noiseuse” qui aurait dû être son chef d’oeuvre. A l’instigation de Porbus, il tente cette fois l’expérience en prenant Marianne pour modèle. Des cinq journées de pose, il va résulter une tension croissante entre les différents protragonistes.
Jacques Rivette, contraint par contrat de devoir faire une version courte (130\' contre 240\' pour la version initiale) pour les passages télé, trouve que couper un film est tellement ennuyeux qu\'il juge nécessaire de s\'amuser un peu. Chose faite ici, les deux versions du film étant totalement différentes. D\'abord, aucune image n\'est en commun. Pour un même plan, il a choisi deux prises différentes. Le style est également différent, inversé en fait, puisque les scènes montées en longueurs sont très découpées et inversement…
"Qu'est-ce qui marche dans un chemin creux, qui ne se repose jamais, et qui revient jamais en arrière ?"
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